Mes choix sont-ils réellement les miens?

Pour que "nos" choix fussent véritablement nôtres ou soi, faudrait-il être soi-même sur-puissant !!!
Derrière le discours de la "responsabilité individuelle" se profilait ainsi toujours le spectre de l'oppression ; maintenant, n'arrêter choix qu'après en avoir délibéré en commun serait gage de force et de réussite, sinon de simple survie, en cas d'imprévu malheureux.
L'oppression était une certitude lorsque l'en-jeu était tout personnel ou intime : la délibération publique ne s'imposait que pour les questions touchant au collectif.
Sans doute certains arriveront-ils à faire la paix avec leur nature, notamment leur nature mortelle, mais ce sera plus choix de faire paix que faire choix de faire la mort !?!